Canalblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Une tite entreprise

19 juin 2006

Encore une tite mais vieille

Bon encore un truc a moi, mais bon c'est moi la starlette21 (sourire) celle là c'est "Ma vie n'est pas une vie" Alors lisez et critiquez (en biens ou en mal comme bon vous semble):

Bonjour. Je m’appelle Samantha, j’ai neuf ans et je vis avec ma maman, Fanny, sur l’île de la Réunion depuis toujours. Je ne sais pas qui est mon papa et d’ailleurs, je m’en fiche un peu: on est très bien toutes les deux. Ah, j’ai omis un petit détail : je suis atteinte d’une tumeur au cerveau. Vous savez ce que c’est, je suppose! Bon ! fini de parler de moi, passons à mon histoire.

Aujourd’hui, 8 novembre 2004, je suis dans ma chambre en train de jouer avec Mélanie, l’une de mes copines quand soudain, ma mère frappe à la porte, entre et dit, comme toujours « Salut, les minettes ! ». C’est comme ça qu’elle nous appelle lorsqu’elle a quelque chose à me dire de très important.

- Il faut que je te parle…

- Je vous laisse toutes les deux. A demain peut-être!!! Dit Mélanie en partant.

- Tu veux me parler, maman ? Me parler de quoi?

- Et bien voilà. Nous sommes heureuses toutes les deux. Mais ton papa ne te manque pas ? Pas même un petit peu?

- Bien sûr que non, tu le sais bien. Pourquoi?

- Tu veux bien que…

- Que quoi maman?

- Ah, le téléphone sonne je vais répondre, je reviendrais te parler de ça plus tard. » Et elle part en courant au téléphone.

Je me pose des questions. Va t-elle me dire qu’elle a un petit ami? Ou pire encore, que quelqu’un l’a demandée en mariage? J’espère que non, on est bien tranquilles toutes les deux sans homme pour nous embêter, nous dire de mettre la table ni de faire le repas ou d’autres choses. Dix minutes plus tard, la revoilà dans ma chambre avec un regard triste et des yeux de cocker. Va t-elle m’annoncer une mauvaise nouvelle? Elle s’assied et commence:

- Je voulais te dire que quelqu’un vient à la maison ce week-end. Mais ce quelqu’un-là va rester pour un long moment.

- C’est qui?

- Il s’appelle Jordan.

- Qui est Jordan?

- C’est… comment te dire ça?… Et bien, c’est ton papa, voilà.

- Mon papa ? ça y est il se décide à venir me voir.

- Oui, c’est très bien.

- Mais alors pourquoi tu fais cette tête là?

- Le docteur m’a appelé, tu dois retourner à la clinique, tes examens montrent que ta tumeur s’est aggravée!

- Mais, papa il le sait?

- Oui, il nous attend là-bas.

- D’accord. 

Deux mauvaises surprises ! Tout d’abord, mon père revient après nous avoir laissées tomber, ensuite, ma tumeur s’est aggravée.

2

Jordan

Après avoir préparé mes affaire pour aller à la clinique, ma mère m’appelle pour me dire de monter dans la voiture le temps qu’elle ferme la porte de la maison. En chemin, ma mère me dit:

- Ca va?

- J’ai un peu le trac…

- A cause de ta tumeur?

- Oui et non, c’est aussi un peu à cause de Jordan!

- De ton père! s’exclame-t-elle, un peu étonnée par ma réponse

- Ce n’est pas mon père…

- Pourquoi?

- Il était où quand j’était malade?! Il était où quand j’ai eu ma tumeur?! Tu peux me le dire?

- D’accord, d’accord. Mais maintenant il est là et c’est ce qui compte!!!

- Oui, tu as peut-être raison. Mais pour moi cet homme n’est pas mon père c’est un étranger!

- Ne dis pas cela ma chérie! »

Nous arrivons à la clinique. Le docteur nous y attend avec un fauteuil roulant et une sucette. Maman se gare, on descend de la voiture. A côté du docteur se tient un homme. Il est grand, beau et il a l’air gentil. On dirait qu’il nous attend avec le docteur mais il n’a pas la tête d’un infirmier. Maman lui fait un signe de la main, il lui répond. Il s’avance, l’embrasse et me dit:

- Bonjour Sam, tu veux des bonbons à la fraise?

- Non merci. Dis-je mécontente.

- Pourquoi ?

- Ma maman m’a dit qu’il ne rien accepter des inconnus!

- Moi je m’appelle Jordan et toi c’est Samantha.

- Jordan, c’est vous? Dis-je étonnée

- Oui, mais tu peux me tutoyer.

- Non.

- Bien sûr que si Sam, voyons je suis ton père!

- Non, vous ne serez jamais mon papa… »

3

Papa ou étranger ?

Après cet échange avec Jordan, mon soi-disant papa, je cours dans les bras du docteur Lebret qui m’emmène dans une salle d’examen.

Les examens terminés, je sors de la salle. Ma mère m’attendait :

- ça va Sam ?

- ça va maman ! Je vais voir Danielle, l’infirmière.

- D’accord ! »

Je reviens de ma visite à Danielle et vois maman et M. Lebret en train de discuter. Pour ne pas les déranger, je m’assieds sur un siège sagement.

Tout à coup Jordan vient s’asseoir à côté de moi et me dit :

- Alors Sam, ça va ?

- Oui. Pourquoi cette question ?

- Comme ça ! Tu sais, tu vas avoir la chance de voir ton papa, c’est-à-dire moi, pendant toute une semaine. Ce n’est pas super ça ?

Oh si ! Et il s’en va.

Après son départ je me demande si Jordan est pour moi un papa ou un étranger …

Ma réponse est simple, claire et nette : comme je ne le connais pas, pour moi Jordan est un étranger …

Maman arrive et m’explique :

- Sam ? Tout va bien, ma chérie. Les examens étaient faux. Tu étais enrhumée et ça a faussé les résultats!

- Super, on va pouvoir rentrer a la maison !

- Oui, et devine qui vient avec nous ? Jordan, ton papa !

- Super!» Dis-je découragée.

Et nous voilà partis pour la maison, maman, l’étranger et moi …

4

Que se passe t-il ?

Dès que nous arrivons, ma mère me demande de monter dans ma chambre car elle doit parler avec Jordan. Mais moi je ne veux savoir de quoi ils vont parler et il me vient une idée. Je vais écouter à la porte de la salle à manger !

Je me cache derrière et j’entends :

- Jordan, il faut que tu essayes de faire connaissance avec Sam!

- Je sais bien, mais elle ne veut pas que je rentre dans ce monde que vous avez construit depuis si longtemps qu’elle en a oublié qu’elle avait un père!

- Je sais, mais il le faut car bientôt il sera trop tard…

Tout devient flou dans mon esprit. Pourquoi maman a-t-elle dit ça ? Pourquoi faut il que Jordan vienne à tout prix s’immiscer entre maman et moi ?

Voilà un mystère que je compte bien découvrir….

5

Un papa inattendu !

Dés le lendemain matin, Jordan commence à essayer de se rapprocher de moi. Il m’apporte le petit déjeuner au lit, en s’exclamant :

- Sam, debout, il est dix heures et demie, allez debout !

- Quoi ? Déjà dix heures et demie ?

- Et oui, et on a toute la journée devant nous pour faire connaissance !

- Mais où est maman ?

- Ta mère ? elle est partie au travail ! Comme j’étais là, elle m’a demandé de te garder et moi je suis ravi de passer la journée entière avec toi ! »

Il pose le plateau et sort de ma chambre. Je regarde le plateau je me dis: je ne vais pas manger ça ! c’est peut être empoisonné ! Quoique… après réflexion… ça n’a pas l’air mauvais. Je me décide à manger. Pendant mon repas, Jordan, qui est revenu me raconte:

- Tu sais, avec ta maman, on s’aimait vrai-ment…

- Je sais, elle me l’a dit. Mais alors pourquoi tu nous as quittés quand tu as su que maman était enceinte ?

- Je ne suis pas parti à cause de toi, mais à cause de mon travail !

- Ah bon ? Dis-je l’air étonné. J’ai cru, maman m’a dit beaucoup de fois : « Sam, ma petite chérie, on est heureuses toutes les deux et rien ni personne ne pourra changer ça! »

- Ta mère a dit ça ?

- Oui, elle me le dit chaque fois que je lui demande des choses sur toi ! C’est bizarre, non ?

- Oui, très … Bon, mange et va te laver, ensuite nous irons au zoo, pour faire plus amplement connaissance!!

Après avoir déjeuné et m’être préparée je monte dans la voiture pour aller, comme l’a dit Jordan, mon « père », au zoo.

Je me demande comment va se passer cette journée avec Jordan, mon père. Une chose est sûre, il ne me connaît pas car je préfère le parc au zoo, mais ça n’est pas grave, je ferai en sorte qu’il ne le remarque pas, histoire de l'enquiquiner.

6

Ma journée au zoo!

Après une demi-heure de route, nous voici enfin arrivés au zoo, malheureusement! Jordan descend de la voiture pour aller payer le parking et revient. En ouvrant ma portière il s’exclame:

-Mademoiselle Samantha, voulez-vous descendre de la voiture et me suivre au zoo pour une journée inoubliable?

- Oui, mais ce n’est pas la peine de parler comme les gens de la noblesse, Jordan, dis-je, énervée et ennuyée par sa façon de parler.

- Si on ne peut plus s’amuser maintenant!…

- Si, mais pas comme ça! Maman, elle sait me faire rire!

- Ok, j’ai compris, bon allons voir les singes.

Arrivés devant les singes, nous les regardons, ils nous font des grimaces et Jordan me dit:

- Regarde, je suis le maître des singes!! Ououihih…

- Ah ah ah ah très drôle! Maman, elle sait mieux que toi faire le gorille!

Soudain je crie

- Oh regarde Jordan, il est l’heure de partir, maman va bientôt rentrer à la maison!

- Ok, on y va!!! »

Nous rentrons donc dans la voiture pour aller à la maison…Soudain, Jordan me lance:

- Tu sais Sam, je veux reprendre mon rôle de papa. Je sais que j’étais absent dans les moments difficiles de ta vie, mais maintenant je suis là.

- Maman m’a souvent parlé de toi. Elle m’a dit beaucoup de bien de toi et elle m’a répété qu’elle t’aimait et que tu nous aimais. Mais lorsque l’on parlait de toi elle se mettait à pleurer et je me demande pourquoi tu es parti et que tu nous as laissées tomber?

- Je te comprends mais tu vois, je vous ai laissées là car ta maman ne voulait pas venir avec moi et je ne pouvais pas abandonner mon travail pour ma famille!

- Oui mais pourquoi es-tu revenue si ton travail compte tant pour toi?

- Parce qu’après mon départ et la lettre de ta maman me signalant ta naissance j’ai compris que ma place était avec vous!

- D’accord, mais si l’on veut redevenir une famille unie il faudra que nous nous connaissions mieux.

- Je suis d’accord avec toi!!!

- Alors demain, quand maman partira au travail, nous irons tous les deux au parc!!!

- Ca marche!

Je viens de comprendre qu’avant toute chose ma maman est ma maman, et que Jordan est Mon papa…

9

Pourquoi ne se le disent-ils pas???

Je me recouche mais malgré tout j’entends mon père et ma mère parler à mon sujet. Ils disent:

- Sam ne peut pas rester ici, il faut l’emmener à la clinique! dit maman, angoissée et triste.

- Elle ne veut pas rester là-bas, elle veut passer ses derniers jours en notre compagnie. Tu devrais être heureuse qu’elle soit aussi courageuse!

- Je devrais peut-être, mais je ne le suis pas, et je ne sais pas pourquoi!

- Tu as vu comment elle à répondu au docteur? Elle a répondu avec son cœur. Elle veut finir se vie en compagnie de ses parents, il faut la laisser décider. C’est sa vie après tout.

- Oui, et tu as remarqué ? Elle t’a appelé papa!

- Je le sais, elle m’avait dit qu’elle voulait bien que je fasse partie de la famille, dit Jordan, heureux et joyeux de dévoiler notre secret à maman.

Après avoir entendu cela, je m’aperçois qu’ils s’aiment encore, mais qu’ils ne veulent pas se le dire. Pourquoi? Je ne sais pas. Peut-être qu’ils ont peur car ils ne veulent pas être heureux pendant que je vais mal! Si c’est le cas, qu’ils ne s’occupent pas de moi. Je ne veux que leur bonheur!!!

10

Ma première semaine!!!

Je ne vois pas du tout passer la première semaine de malheur car durant cette première semaine, j’ai fait énormément de choses avec mes parents. Tout d’abord, lundi, nous sommes allés au musée de la pomme de terre, c’était trop marrant. On a mangé des pommes de terres en salade avec des pommes de terres sautées, enfin c’était super bien ! Ensuite, mardi, nous sommes allés avec mon père chercher un beau collier pour l’anniversaire de ma maman et Jordan à également acheté quelque chose de très important, quelque chose qui, j’en suis sûre va beaucoup plaire à ma mère. C’est moi qui l’ai conseillé à papa.

Le soir, en rentrant à la maison, papa et moi avons emballé les deux cadeaux pour maman. Mercredi, j’ai dit à papa de commander un fraisier, car maman adore les fraisiers!!! Jeudi, enfin, c’était le grand jour, l’anniversaire de ma mère!!! Jordan et moi nous lui avons fait une surprise: dés qu’elle s’est levée et qu’elle est allée dans le salon, elle a trouvé un fraisier avec inscrit dessus « Joyeux anniversaire à toi, maman, et à toi, Fanny, l’amour de ma vie ». Quand elle a vu ça elle a sauté dans les bras de mon papa et m’a fait un énorme bisou! Lorsqu’elle a ouvert le premier cadeau, le collier, elle l’a mis aussitôt à son cou. Et pour le deuxième c’est Jordan, qui s’est accroupi devant elle avec une bague et lui a dit:

«  Fanny veux tu m’épouser?» Quand ma mère a entendu ces mots elle a demandé à mon père un peu de temps pour lui répondre, et il lui a dit qu’elle avait jusqu’à samedi. Vendredi, maman m’a emmené faire les boutiques. Et le samedi, elle a répondu à Jordan que pour la demande en mariage, c’était à moi de décider. Et je me suis exclamée : « OUI! »

Dimanche, je suis restée au lit car je ne me sentais pas en grande forme, mais nous avons tout de même fêté l’heureux événement et nous l’avons programmé la semaine suivante.

11

Oh non!!!

Le lundi matin, je n’ai pas pu me lever. Je ne sentais pas mes jambes et j’avais la tête qui tournait. Papa a appelé le docteur, M. Lebret, qui est arrivé environ une demi-heure après. Il m’a examinée et a dit à mes parents ce que j’avais. Il est parti et mes parents sont venus dans ma chambre.

- Ma puce, tu vas de moins en moins bien, tu sais. Le docteur pense que tu devrais aller à la clinique, a dit maman.

- Je ne veux pas, je veux être là pour votre mariage et je veux mourir près de vous!

- D’accord. Si c’est ce que tu veux vraiment, nous allons avertir le docteur. Mais il faut que tu saches une chose. C’est que, comme tu ne vas pas bien, il ne te reste plus guère de temps.

- Combien de temps me reste-t-il, maman?

- Il te reste au maximum cinq jours, dit Jordan, désespéré.

- Alors autant avancer le mariage et vivre encore ces cinq jours à fond en famille.

12

Le mariage approche!!!

Mes parents ont pris une décision: ils se marient demain!!! C’est un peu précipité, mais je ne vais pas bien du tout et je veux être présente pour l’heureux événement. Ils ont appelé le prêtre et les invités qui n’étaient que cinq. Il y avait la sœur de maman, la sœur et le frère de papa et Mélanie, ma copine. Tout était prêt pour le lendemain. Il ne manquait qu’une seule chose : la robe de mariée n’était pas encore prête! Mais maman a trouvé le moyen qu’elle soit finie à temps. Après cette journée mouvementée, je suis allée me coucher, ainsi que mes parents.

Le lendemain matin, mon père et ma mère se sont levés à cinq heure et demie, ils ont tout préparé et à midi tout le monde était prêt. Il ne manquait qu’une personne, le prêtre, mais il est arrivé peu de temps après. Dés que tout le monde a été réuni nous avons commencé la cérémonie. Papa venait de dire « oui  je veux l’épouser » quand je me suis évanouie, car je n’étais pas vraiment très bien!!! Le mariage a été annulé. M.Lebret est arrivé, et a dit à mes parents, ainsi qu’à moi:

«  Ca y est, c’est l’heure…

- L’heure de quoi? demanda papa.

- C’est l’heure qu’elle s’en aille!

- Oh non, nous ne sommes même pas mariés! A dit maman en sanglotant.

- Maman, il est l’heure, c’est comme ça. Mais avant de partir je veux que vous soyez mariés.

- D’accord, a dit Jordan »

Sur ces mots ils se sont unis au pied de mon lit et je leur ai dit, déjà à moitié endormi:

«  Promettez- moi une chose, vous serez heureux et vous aurez beaucoup d’enfants ensemble?

- D’accord! a dit Jordan en pleurant.

- Je ne peux pas te promettre une telle chose, sanglota maman.

- Tu dois, autrement je ne partirais pas heureuse.

- Allez Fanny, promets-lui, souffla Jordan.

- D’accord, voilà, je te le promets, m’a dit maman en me en serrant contre elle. »

Ce sont les derniers mots que j’ai entendu dans ma vie.

1

La surprise

Ma vie n’est pas une vie

Publicité
19 juin 2006

Manager

Alors voilou maintenant c'est au tour a mon Manager, alias Clotilde:

Clotilde,15ans, super manager quelque fois un peu trop protecteuse(sourire) et desfois j'ai envie de la virée mais elle est tellement géniale que je ne peux pas (sourire) merci a toi manager... Bon elle refera sa biographie enfin sa petite description elle est mieux placée que moi!!! biz a vous

19 juin 2006

Ma tite chose a mi

voilà alors le titre c'est "Je suis en prison NA!" lisez et donnez moi vos avis :

Aujourd’hui le 7 septembre 2005,je suis dans mon lit. Je pense, je pense à quoi d’ailleurs? J’en sais rien, je viens de rêver d’une fillette qui dormait, les yeux ouverts! Je l’ai regardé sous tous les angles, elle ne bouge pas! Ses petits yeux verts sont ouverts, sur les coins de ses lèvres coulent du sang, ses mains sont accrochées sur son nombril. Mais pourquoi est-elle comme ça? Je regarde mes mains. Et là, avec une grande frayeur, je les vois rouges! Rouges de sang, je vais les laver je frotte, je frotte, le sang reste!!! Je prends ma tête dans mes mains, et je me mets à rire! Pourquoi? J’en sais trop rien. La scène, cette petite fille, tout me fait rire... Et là, quelqu’un frappe à la porte de la maison, j’attrape la poignée. Je me mets debout, je suis réveillé! Ce n’était qu’un rêve!!! Dommage...

Pendant, le déjeuner, je ne fais que penser et repenser à cette petite fille. Une petite blonde, aux yeux verts qui me paraissait mauvaise. Ce regard d’enfant malin, et sournois!! Ses petites manières d’aguicheuse, ses sourires moqueurs! Toutes ces petites choses qui font croire à ses parents que c’est une petite sainte, me font vomir, me rende malade à crever! Mais, regardez la réalité en face! Les enfants sont des êtres immondes! Qui ne pensent qu’à rendre la vie des autres mauvaise! Avec leurs braillements le soir quand on est bien endormi, ils chiâlent et nous réveillent. Tous ça parce qu’ils ont faim! En fait, les enfants, ce sont tous des égoïstes, des hypocrites!!! Qui ne pensent qu’à eux, ou bien, qu’à rendre la vie de leurs parents infernale!!! Et c’est pour cela que je suis célibataire et sans enfant....

Après le déjeuner, je prends ma douche, car après un tel rêve je dois me rafraîchir les idées! Dans ma douche, j’ai repensé à cette petite fille, les vêtements qu’elle portait. Une juge verte avec des rubans bleus, et un débardeur jaune ayant pour seule décoration une fleur. Et quelque chose de bizarre s’est passé en moi!!! J’ai eu un petit, comment dire, mouvement, une chatouille. Rooo, puis mince ce n’est que la réalité. Alors je vais oser vous le dire, j’ai eu une érection! Voilà, ce n’est que pure réalité. C’est la vie, après tout c’est vrai, qu’elle n’était pas mal... cette petite. Certes, elle était jeune, mais je ne lui ai rien fait. Si peut être que je l’ai caressée, peut être embrassée aussi. Mais ce n’était que dans mon rêve.

Dés que j’ai senti mon sexe s’exciter, je l’ai refroidi avec de l’eau glaciale, et une bonne paires de gifles... Ce n’a lui fera pas de mal!

Ensuite, je suis parti pour le travail, je suis instituteur en classe de CE1. Dans une petite ville de Côte D’or, qui se prénomme Genlis! Je monte dans ma voiture, me regarde dans le rétroviseur, me recoiffe. Ma grande brosse brune doit être parfaite! Je me rhabille, ma chemise doit être parfaitement lissée, mon pantalon, sans trop de plis et mes chaussures,bien cirées. Une fois, que les vérifications sont faites, je démarre. Je descends la légère montée qu’il y a devant chez moi, et en route pour l’école... Sur la route, aucune voiture ne me gêne, remarquez c’est normal il faudrait déjà qu’il y en ait sur la route!!!

Arrivé devant l’école, je me gare à la place réservée pour moi. Sur la place il y a un écriteau:  « Réservé à Monsieur Jean Vouderts ». Au moment de sortir de la voiture, je la vois! Elle me regarde en souriant, elle tient la main d’une vieille dame aux cheveux blancs. Elles me font signent de la tête, vous voyez je vous l’ai dit. Elle m’aguiche!!! C’est incroyable, sans honte, sans rien! C’est irréaliste. Je n’en crois pas mes yeux, je la regarde, je la suis des yeux. Elles s’arrêtent, vont elles m’aborder? Ils ne faut pas... Au moment où je croyais être tranquille la vieille s’approche de moi, me sourit et me dit d’une voix de traînée:

« Vous auriez l’heure s’vous plaît? »

Elle me fait des avances, je n’y crois pas! Je ne dois pas répondre, je ne peux pas répondre!!! Je continus ma route... Elle me regarde m’éloigner, je sens ses yeux sur mes fesses. C’est vrai que c’est bon, mais je ne peux la laisser continuer, alors je me retourne et je lui lance un regard noir! Elle fait deux pas en arrière... Et détourne le regard de mes belles et délicieuses fesses.

Je rentre dans ma salle de classe, et je prépare mes dossiers, mes affaires, mes cours, les cahiers de mes élèves... Et là, sur le bureau, j’aperçois, un cahier neuf, avec un prénom écrit à la plume. Ce prénom, je n’ose le lire, j’en ai peur... Soudain, la porte s’ouvre, c’est la directrice. Une brune et laide femme, obèse et moche!!! Elle me signale, l’arrivée d’une nouvelle élève, qui s’appelle Alice. Quel horreur ce prénom, Alice... Beurk!!! J’en suis écoeuré, il ne manquerait plus que ce soit cette petite blonde, qui me fait de l’effet. Et ce serait le jackpot!!! La directrice repart tout en tordant des fesses, elle croit peut être me plaire, mais pas du tout!!! Ce n’est pas mon style de femme... D’ailleurs j’en ai pas de style!!!

J’ouvre la grille verte de l’école, les enfants entrent en hurlants comme des bêtes sauvages qu’on va voir au zoo. Rient, crient, courent, jouent, rien de très important... Et c’est moi, qui suis de corvée de les surveiller car Madame La Directrice doit s’occuper d’ALICE!!!

Dans la cour, ils hurlent, je ne le supporterais pas longtemps, je prends mon sifflet entre les dents. Et j’attends, cela a duré au moins cinq minutes!!! L’autre laide, me dit qu’elle reprend le relais, alors je vais boire un café bien fort pour me remettre les idées en place!!! Je bois une gorgée, je me brûle la langue. Sale garce, cette directrice voyant qu’elle ne me plaisait pas elle l’a fais exprès! J’en suis sûr... Elle ne perds rien pour attendre...

La sonnerie vient de sonner, je vais dans ma classe, écris la date au tableau et je ressors pour aller chercher mes élèves. Arrivé devant le rang, ils hurlent, ils n’arrêtent pas, je crie, je crie et recrie... Ils se calment enfin!!! Ils me suivent et papotent, et bavardent, ce que je peux haïr ça. Ils le savent, mais ils le font exprès!!!

On entre dans la classe, les chaises grincent, couinent, et frottent le sol... Une fois qu’ils sont assis, ils sortent leurs affaires. Je commence à les appeler un par un, on frappe à la porte. Je parie que c’est la directrice avec Alice, cette petite garce. J’ouvre la porte, je tombe sur la directrice, et devinez qui: Alice!Et vous savez quoi? Alice, c’est la petite aguicheuse de mon rêve. Elle me sourit avec ses petites manières de fille facile, et la directrice lui demande d’aller s’asseoir... Tout le monde la regarde, et elle ne fait que de me fixer. Mais ne cherche pas Alice tu ne m’auras pas si facilement, petite!!!

La directrice part!!! Ouf. Le cours continue je reprends l’appel!!! Tous mes élèves sont là, même cette petite peste d’Alice... J’aurais tant aimé qu’elle ne soit pas née! Mais rooo, qui a eu l’idée de faire une fille et de la nommer Alice? Hein?Non, mais sérieusement... Alice c’est un prénom horrible, non seulement à dire, à entendre mais à porter encore plus... Beurk!!!

Les élèves travaillent, ah! Le calme est si paisible qu’on entend presque même pas les mouches voler! Elles ont peur de voler, peur de moi, tant mieux... J’en entendrais une seule, même un moucheron, je prendrais mon pied juste en l’écrasant. Le plaisir du silence est si bon, qu’on a envie qu’il dure! Mais malheureusement, il est impossible vu qu’Alice m’appelle! Non, mais elle m’aguiche et saccage le silence!!! Elle est sans gêne. Je suis instituteur et donc j’ai le devoir de lui faire partager ce que je connais, alors je suis obligé de lui répondre... Quel supplice!

Je lui donne la parole, et de sa voix si fine, légère et aigue elle s’exclame:

«  Maître, vous pouvez m’aider? » Elle me demande de l’aide après m’avoir aguiché, elle va sûrement me faire du charme, me draguer. Il faut que je résiste!

J’arrive près d’elle, elle baisse le doigt, me regarde avec ses yeux charmeurs. Comment résister? Souffle, souffle... Je m’approche, elle me demande l’explication de son exercice de mathématiques. Quelle idiote cette Alice, elle ne sait pas faire les soustractions! Les jeunes filles qui ne pensent qu’à draguer, ne peuvent pas être intelligentes en même temps. C’est ce que me répétait ma mère lorsque j’était enfant. Quelle triste période, car c’est au moment de mon enfance que je l‘ai perdu... Ne croyez pas que cela me fait du mal, car au contraire, elle commençait à m’agacer avec ses tendresses étouffantes, ses mots doux. J‘vous jure, je n’en pouvais plus du tout, j’étais arrivé à saturation. Alors, un jour je l’ai fais! Et après cela j‘ai été confié à la D.A.S.S., là-bas aussi ils m’étouffaient tous. Mais je ne pouvais pas tout leurs faire ce que j’avais fais à ma mère!!! Alors j’ai décidé de m’enfuir. Je n’étais pas très vieux, je devais avoir 14, 15ans. Et je suis arrivé à Genlis, tant bien que mal, mais j’ai réussi à leur échapper. J’en étais fier!!! Mais je ne me souviens plus trop de ma mère, si peut être une ou deux choses assez précises mais vaguement.

Tout d’abord, je me souviens qu’elle était très dure, quand j’avais eu un « bobo » elle ne me faisait pas de ces stupides bisous magiques, que les gens font aux enfants pour les calmer!!! Et je me souviens aussi qu’elle aimait beaucoup danser, elle dansait tout le temps. Sans arrêt, quand elle faisait la cuisine elle tournait comme une danseuse étoile. Même si elle ne dansait pas bien du tout, mais je dirais rudement mal, elle aimait ça... Mais bon, je l’ai haï à partir du jour, où elle a commencé à me saouler. Ah! La jeunesse, inconsciente et moche!!!

Après l’avoir aidé, je frappai des mains, et je fis ramasser les cahiers par un élève que j’adore, car il travaille bien. Mais aussi parce qu’il est calme et il a de beaux yeux bleus, des yeux comme les siens, on a envie d’en avoir. Ce petit garçon m’a l’air, depuis le début de l’année, attiré par cet homme très beau qui n’est personne d‘autre que moi. Me fait des petits tours malicieux, coquin celui-là!e fait des petits tours malicieux, coquin celui là!

Enfin, bon. Après que j’ai eu tous les cahiers, les élèves et moi discutons de notre « voyage » à la ferme de Dijon. Alice a l’air très heureuse à l’idée de passer une journée entière à jouer avec mes nerfs. Mais je vais la calmer! Au moment où j’allais expliquer l’exercices de français, ça sonne... Et je laisse les enfants sortir, ça leurs fera du bien, car ils commençaient à s’exciter! Et moi, cela me permettra de prendre l’air aussi. Cette petite entracte me fera le plus grand bien.

Après cette pause de quelques minutes mes mains se mettent à trembler, je ne sais même pas pourquoi! C’est sûrement un coup de la laide. Ah comme je lui résiste elle me fait du mal, c’est un comble, je ne l’aime pas, je ne l’aime pas... Rooo!!! Alors je décide d’aller m’expliquer avec elle. Je rentre dans son bureau, elle est seule assise sur une chaise. Les yeux rivés sur son ordinateur, je claque la porte et elle me dévisage, en me demandant:

« Que se passe-t-il Jean?

- Ne faites pas l’innocente!

- Non, mais je ne comprends pas,expliquez-vous.

- Mais bien sûr,vous comprenez très bien. Le café brûlant, juste parce que votre charme n’opère pas. Les comprimés qui me font trembler parce que vous êtes laide et que je ne vous aime pas...

- Mais... S’étonne-t-elle

- Il n’y a pas de mais! Vous n’êtes pas mon style point barre. Espèce de folle! Si vous continuez je vous préviens, je porte plainte!!! »

Et je sors de son bureau. En plus elle fait celle qui ne comprend pas! Cela m’agace, vraiment!

La cloche sonne, je la croise dans le couloir, mais n’y prête pas attention... Après tout, si elle n’a pas capté c’est de la mauvaise volonté. Les élèves sont assis, enfin, tous à part ALICE!!! Elle vient près de mon bureau, et me demande si elle peut aller aux toilettes. Ses petites lèvres roses, me forcent à lui accorder cette permission. Elle y va et les autres commencent l’exercice de français.Nous revoyons les C.O.D et les C.O.I, ils sont un peu nuls. Ils ne se rappelaient plus comment les différencier! Mais, je les comprends,l’an dernier leurs instituteurs étaient pas très influents, alors que moi je le suis. Ces enfants tous les mêmes ils apprennent quelque chose et l’an d’après ils oublient. Le calme était si doux, si bon, si beau que je me plaisais à admirer mes élèves travailler. Pour une fois aucun d’eux ne me faisait de l’oeil! Je me lève, fais le tour de tous les élèves, Alice entre sans un bruit, ça y est elle a compris. Il faut le silence! J’admire les enfants travailler. Je passe près d’Alice et lui souffle à l’oreille de venir me voir, demain après l’école. Pas ce soir car je suis pressé je dois aller voir un film au cinéma! Elle acquiesce de la tête. Et continue à écrire. Comme si, je ne lui avait rien demandé. Je retourne m’asseoir, et je commence à préparer les contrôles pour demain, ce sera toujours ça en moins à faire chez moi. Toujours un petit plus de sommeil, un peu plus de rêves! Quand le premier élève qui a terminé me rend sa copie, je lui suggère de prendre un livre et de le lire en attendant la sonnerie. De mon côté je surveille les élèves pour qu’il n’y ait pas de triche.

Il ne reste que cinq minutes avant la sonnerie, je dis aux élèves de se relire, et de poser leurs feuilles sur les tables. Ils exécutent tout de suite mes recommandations, et je leur déclare qu’ils peuvent ranger leurs affaires et aller se ranger, dans le calme, près de la porte. Une fois, qu’il sont tous prêt je leur révèle le contrôle de demain, c’est un contrôle de mathématiques. Alice devra beaucoup travailler, tant mieux cela lui fera les pieds!!! Ça sonne, ils sortent en me criant des adieux...

Après que ma classe fût déserte, je me mis à ranger les cahiers, les contrôles et toutes mes affaires dans ma sacoche noire. Je ferme la porte à clefs et là, je tombe sur la directrice! Elle me regarde, me prend par le bras et me suggère de venir dans son bureau pour parler de notre dispute. Je m’arrache à elle, et sors en courant, je la sens qui a envie de moi. Je sais, je suis irrésistible mais pourquoi ne me comprend elle pas? Alors, je saute dans ma voiture, et je démarre à toute vitesse. C’est bon, elle m’a lâché!!! OUF! Sur la route, je ne peux m’empêcher de penser à Alice. Va-t-elle penser à moi? Va-t-elle réviser? J’ne sais rien, et j’ai pas envie de savoir! J’ai peur d’avoir peur... Lorsqu j’arrive chez moi, j’ouvre la porte, bizarre je sens une odeur que je ne connais pas. C’est quoi? Je renifle, comme un chien... Oh! Mais c’est du gaz. Je prends mon téléphone à toute vitesse et j’appelle les pompiers. Ils me conseillent de sortir de chez moi le plus vite possible, je leur obéis. Ils arrivent, font des tas de choses, des contrôles... Dix minutes plus tard, une femme s’approche et me révèle que je suis arrivé à temps... Je l’avais deviné! Je rentre chez moi, après que les pompiers aient quitté les lieux, et j’inspecte la cuisine. Comment mon gaz a-t-il pu s’allumer? Je ne suis pas fou, ce n’est pas moi, je ne l’aurais jamais allumé avant de partir au travail! Je fouille, je cherche, j’inspecte... Rien de suspect! Alors, je m’assieds et là, j’écris toutes les personnes qui auraient pu me faire une chose pareille. Les noms se multiplient,la feuille est presque remplie... Et le dernier nom sur la feuille est: Madame la Directrice!!! C’est évident, c’est elle! Elle m’en veut, elle ne supporte pas le rejet! Mais comment a-t-elle fait?

Je réfléchis, encore et encore... Mais bien sûr! Elle a engagé un homme pour le faire à sa place...

Le soir, je me couche, mais le sommeil ne vient pas!!! Elle me broie le cerveau cette femme, et cette Alice, cette petite agaçante fillette!!! Je me lève,vais boire un verre, essaye de trouver le sommeil. Mais non, je n’y parviens pas!!! Je gigote, je bouge, je me retourne, mais rien à faire.. Elles me hantent... Je dois faire quelque chose!

Une idée me vient!!! Je vais aller les voir, et je vais leur expliquer qu’elles doivent me laisser tranquille. Je cherche mes cahiers, je sors mon répertoire. Alice, trouve son adresse... Puis celle de madame la directrice. Je prends mon pantalon, le plus moche, pour ne pas qu’elles se jettent sur moi! Je ne prends ni le soin de me coiffer, ni de me brosser les dents, pour ne pas qu’elles essayent de m’embrasser! Je monte dans ma voiture, et je me dirige vers chez Alice.. Durant le trajet, je sens en moi une excitation. Peut être l’idée de voir Alice en pyjama? Ou bien, le bonheur, de me sentir libre après avoir été persécuté par ses « femmes »?

J’éteins mes phares, pour ne pas réveiller le quartier. Il est tout de même minuit!!! Je descends de ma voiture, sans la fermer pour ne faire aucun bruit. Ouvre la porte sans faire un son. Cherche la chambre d’Alice, et après deux minutes de recherches, je la trouve!!! J’entre, elle est couchée... Respire fort, ne bouge pas, normal elle dort! Je m’approche, la caresse, l’embrasse du bout des lèvres. Quelle douceur! Je dois en finir avec elle, mais que faire? Je ne peux tout de même pas lui donner ce qu’elle veut.

Je me lève d’un seul coup, je dois en finir!!! Je vais dans la cuisine, elle est rose. Et je trouve un délicieux couteau de cuisine qui me tend les bras. Je m’en empare, et j’entre dans la chambre d’Alice, lui ouvre son pyjama, la dévisage une dernière fois. Je lève les bras en l’air, pour me donner de l’élan.... Soudain, un bruit, une lumière s’allume, des pas se font entendre... C’est la vieille traînée. Vite, je transperce le corps d’Alice, le sang gicle... Elle ne respire plus... Je l’embrasse, afin qu’elle soit heureuse dans son nouveau monde, elle aura effectué un de ses désirs! La vieille entre, encadrée de deux policiers. La garce, elle a alerté la police... Ils m’arrêtent...

Deux mois plus tard, le juge me déclare coupable du meurtre d’Alice. Ma peine: 20ans de prison ferme...

Pas grave, dans cette prison, personne ne m’aguichera. NA!

Fin

19 juin 2006

La starlette21 (sourire)

Salut,

Je suis Guillaine, la "starlette21" qui a lancé la connerie de faire ce site avec mes deux copines... vous aurez leurs descriptions bientot.

Alors parlons un peu de moi, (sourire) :

Je suis une écrivaine et une danseuse, on a fais se site pour essayer de se faire connaitre et oui alors lisez moi! et dites ce que vous en pensez... biz a vous

Publicité
Publicité
Publicité